Mise en scène de Cath et Jean
L'art de la mise en lumière
mise en scène de Cath et jean
Les moules en cuivre maintenant patinés qui servaient à produire des poupons en caoutchouc , étaient chez Catherine et Jean depuis des années. Ils les avaient chinés dans un vide grenier en se disant qu’ils en feraient quelque chose un jour … En attendant elles étaient posées sur des pots de fleur retournés et bombés en doré, une pampille sur chaque oreilles et une bougie planté sur la tête !
« Leurs donner vie »
Catherine m’a demandé si j’avais une idée pour les mettre en valeurs, « leurs donner vie ».
Le but de l’opération était simple. L’expression de ces deux minois devait absolument être mis en avant. En les hissant assez haut pour leur donner de l’importance. En les cerclant de lumière pour faire ressortir les traits patinés. Le tout avec une structure légère pour ne être trop encombrante et sans prendre le dessus
Voilà le résultat. Je les ai mis au centre d’une scène chic sobre et raffiné.
Ce travail ressemble beaucoup à la mise en lumière de Lucie qui a beaucoup de similitude. Si vous aussi avez un objet qui rentre dans cette catégorie d’objet je peut vous proposer une ce genre de mise en scène lumineuse pour sublimer vos objets de valeur ou simplement précieux.
Remplissez un formulaire de contact ou écrivez moi je vous ferais un une proposition et un devis.
Cath & Jean
Représente cette somme d’opérations
La mise en lumière de ces têtes de poupées à était effectué en plusieurs étapes.
La première été une phase de réflexions pour savoir quoi faire des ces objets un peu flippant.
Puis et venue la mise en oeuvre:
- création du socle béton et de son logement pour l’électronique
- Fabrication du cercle lumineux de résine
- Fabrication de tous les éléments en laiton (bouton, plaque, tige, pince …)
- Vernis double composant pour les éléments en laiton
- Préparation des têtes
- assemblage et test
Ceci est un résumé des opérations nécessaire à la réalisation de cette oeuvre.
Si vous aussi avez un trésor inexploité ! discutons en . . .
